Collectif Jean de Neyman
La Résistance en mémoire

Site de recherches sur la vie de Jean de Neyman, Résistant, fusillé le 2 septembre 1944 à Saint-Nazaire (Heinlex) en Loire-Inférieure (Loire-Atlantique aujourd’hui) - France.

Saint-Nazaire - Boulevard Jean de Neyman
Article mis en ligne le 22 août 2024
dernière modification le 16 octobre 2024

par Patrice

Avec le transfert de l’hôpital de Saint-Nazaire, le conseil municipal a nommé le boulevard et une impasse s’y rattachant au nom de Jean de NEYMAN. Le 28 février 2015 une cérémonie inaugurale s’est tenue en présence de la famille du Résistant.

Un peu d’histoire sur le lieu

L’opération n’a pas été simple. Le premier projet prévoyait de donner le nom de Jean de NEYMAN au lycée professionnel Heinlex à Saint-Nazaire du fait que le collège qui portait son nom allait être détruit. C’était sans compter sur une levée de boucliers de la communauté éducative qui tenait à conserver le nom de l’établissement.
Le collège Jean de Neyman fut fermé pour fusion avec le collège Manon Roland, au sein du collège Anita Conti, en septembre 2013. Et l’ancien hôpital va être démoli !
Voilà une occasion pour renommer le boulevard de l’Hôpital en lui attribuant le nom de ce Résistant et calmer le les colères !

  • Télécharger le compte-rendu du conseil municipal de Saint-Nazaire du 3 octobre 2014.

L’inauguration

À l’invitation du Comité du souvenir, Jean-Loup de Neyman avec son épouse et Dominique de NEYMAN avec sa famille, respectivement neveu et nièce de Jean ont honoré de leur présence l’inauguration de ce boulevard.
C’est sous une pluie battante que la famille a retrouvé plus d’une centaine de personnes pour l’inauguration du boulevard Jean de Neyman.

Des élèves de la classe de première L1 du Lycée Aristide Briand, avec leur professeure, Élissa ANDRÉ, ont proposé au regard du visiteur et de la famille émue, une évocation graphique et littéraire sur la vie de Jean et des valeurs qu’il leur inspirait.

Découvert du panneau du boulevard portant le nom de Jean de NEYMAN, par le maire et la famille de NEYMAN présente (de G à D : David SAMZUN, Claire BUCHBINDER, Dominique et Jean-Loup de NEYMAN, nièce et neveu de Jean).
201502 - Février 2015 - Inauguration Bd. Jean de Neyman - St.-Nazaire
Découvert du panneau du boulevard portant le nom de Jean de NEYMAN, par le maire et la famille de NEYMAN présente (de G à D : David SAMZUN, Claire BUCHBINDER, Dominique et Jean-Loup de NEYMAN, nièce et neveu de Jean).
© Photo P.M. / Collectif J.d.N., 20150228-1864.

Le panneau bleu portant l’inscription « Boulevard Jean de Neyman, résistant fusillé le 2 septembre 1944 » a été dévoilé par David SAMZUN, maire de Saint-Nazaire et Claire BUCHBINDER, fille de Dominique, en présence Joël BUSSON, président, accompagné de Guy TEXIER et de plusieurs membres du Comité du souvenir de Loire-Atlantique et de nombreuses personnalités, Marie-Odile BOUILLÉ : députée, Yannick VAUGRENARD : sénateur, Gérard MAUDUIT et Annaig COTONNEC, conseillers généraux de Saint-Nazaire, Roger DAVID, conseiller général du canton de Montoir, Yvon RENÉVOT, adjoint au maire et secrétaire de la section du P.C.F. de Saint-Nazaire et de nombreux élus communistes, socialistes et verts, de représentants de la C.G.T, dont Fabrice DAVID secrétaire général de l’Union départementale, de la F.S.U., de la LDH, et des associations F.N.D.I.R.P., ANACR, ARAC, A.F.M.D. ; du MRAP, du Mouvement de la Paix et de Femmes Solidaires...

Après la lecture de la dernière lettre de Jean par une élève du lycée, Guy TEXIER représentant le Comité du souvenir de Loire-Atlantique dans son allocution rappelait le combat de Jean et son sacrifice pour la France.

Puis le maire prit la parole évoquant sa satisfaction qu’un boulevard et une impasse prennent le nom de Jean de NEYMAN.

Jean-Loup remercia les autorités et personnes présentes d’honorer son oncle et ses valeurs patriotiques qui l’animaient. Ainsi, il plaça Jean dans la devise de la France : Liberté, Égalité, Fraternité :

« L’action de Jean s’inscrit dans cette trilogie : Liberté : la France n’est plus libre, Jean prend les armes ; Égalité : ce jeune savant, descendant de la noblesse polonaise entre dans, ce qui était à son époque le grand parti majoritairement prolétarien ; Fraternité : il se sacrifiera courageusement pour ses frères d’armes sans montrer la moindre haine pour ses bourreaux. Il est un exemple pour la jeunesse en quête d’idéal ».

Ce ne fut pas sans faire le parallèle avec l’actualité d’aujourd’hui, pour mettre en relief la nécessité de défendre les valeurs que Jean nous a léguées.

Le verre de l’amitié offert par la mairie concluait cette émouvante inauguration à laquelle des riverains avaient tenu à participer. Il fut pris sous abris, animé par cinq jeunes musiciens de Saint-Nazaire interprétant le Chant des partisans et La Marseillaise, reprise par toutes et tous.

Allocution de Guy TEXIER pour le Comité Départemental du Souvenir des Fusillés de Châteaubriant et Nantes et de la Résistance en Loire-Inférieure [1]

(Seul le prononcé fait foi)

Guy Texier en allocution ( de G à D : David «Samzun, Marie-Odile Bouillé, Guy Texier, Joël Busson, Cédric Turcas, Yvon Renévot)
201502 - Février 2015 - Inauguration Bd. Jean de Neyman - St.-Nazaire
Guy TEXIER en allocution ( de G à D : David SAMZUN, Marie-Odile BOUILLÉ, Guy TEXIER, Joël BUSSON, Cédric TURCAS, Yvon RENÉVOT)
© Photo P.M. / Collectif J.d.N., 20150228-1891.

Monsieur le Maire
Madame la Députée
Monsieur le Sénateur
Madame Dominique de NEYMAN
Monsieur Jean Loup de NEYMAN et toute votre famille
Mesdames et Messieurs les élus
Chers amis et chers camarades

À l’aube de ce troisième millénaire, ce que tout homme et femme souhaitent c’est qu’il soit de progrès, de bonheur pour les générations futures, comment ne pas avoir à l’esprit que ce 20e siècle que nous venons de quitter et qui a fait entrer nos sociétés dans la modernité grâce à des découvertes dans tous les domaines est aussi le siècle où la négation de l’homme, la haine et la barbarie ont atteint un niveau jamais égalé dans l’histoire de l’humanité et qu’aujourd’hui resurgissent les idéologies racistes et xénophobes de la bête immonde véhiculées par l’extrême droite, doit appeler de nous tous l’esprit de Résistance qui a animé, avec tant d’autres, notre ami, notre camarade Jean, pour qui nous sommes à nouveau rassemblés, aujourd’hui avec sa famille.
Il y a cinq ans nous lancions avec le P.C.F. le débat sur le devenir du nom de Jean De Neyman sur notre ville après la déconstruction du collège qui portait son nom,et aujourd’hui en présence de sa famille, nous nous réjouissons que cet appel ait été entendu et qu’un grand boulevard de Saint-Nazaire porte le nom de Jean de Neyman.
La ville de Saint-Nazaire rend donc à nouveau hommage à Jean de Neyman, fusillé par les allemands le 2 septembre 1944, en donnant à ce boulevard le nom de celui qui fut le dernier fusillé du département et probablement de France, alors que Paris et une grande partie de la France étaient libérées du joug nazi.
Ses parents Rose et Constantin de Neyman ont eu une grande influence sur leurs enfants et petits enfants.
Immigrés de Pologne au début du 20e siècle, très cultivés, ils ont donné à leurs enfants la culture du respect de l’autre, de sa différence, de sa culture, de sa philosophie, des valeurs de notre République laïque, démocratique et sociale.
Jean, son frère et sa sœur ont été fidèles aux valeurs et à l’éducation que leur ont transmise Rose et Constantin De Neyman.
Jean était un homme de charisme et de rayonnement, c’était aussi l’héritage de sa famille qui a beaucoup souffert du nazisme, deux de ses tantes seront fusillées et son oncle, représentant de la Pologne à la Société des Nations refusera de serrer la main à la délégation Allemande en visite diplomatique, son père et sa mère seront décorés de la « Polonia Restituta » pour les activités en faveur d’ enfants polonais immigrés.
Étudiant en 1934 à la faculté de Strasbourg, il adhère au P.C.F., alors qu’en Allemagne règnent le fascisme et le nazisme, que la répression s’abat sur tous les démocrates, les juifs, c’est le début des camps de concentration.
Après la débâcle de 1940, Jean est démobilisé , il est enseignant, mais fils de polonais, il est radié de l’enseignement public et devient professeur au cours secondaire privé « Le Cid » à La Baule.
Dès 1940 Jean a choisi le camp du combat contre l’occupant à une époque où la droite et l’extrême droite avaient choisi la collaboration industrielle, politique et policière avec l’occupant nazi.
En 1940 la Résistance fut à ses débuts, affaires d’individus plus que de groupes, ce fut le cas pour Jean qui deviendra rapidement l’animateur du réseau de résistance dans la presqu’ile guérandaise avec la propagande contre l’occupant, les sabotages, l’action militaire, mais aussi la solidarité à ceux poursuivis par la police allemande et celle des collabos de Vichy sous les ordres de Pétain et Laval.
En 1944, il est contraint de rentrer dans la clandestinité pour poursuivre son combat avec l’aide de gens courageux qui l’accueillent et prennent ainsi des risques pour eux-mêmes et leur famille.
Jean était un internationaliste et c’est tout naturellement qu’il porte assistance à deux soldats allemands déserteurs.
Arrêté, jugé par un tribunal militaire allemand, il est condamné à mort pour actes de résistances et aides aux déserteurs . Il assure lui-même sa défense et en prenant sur lui toute la responsabilité des actes, ce qui sauvera ceux qu’ils l’ont hébergés.
Son pourvoi rejeté, il sera fusillé le 2 septembre 1944 dans la propriété d’Heinleix.
Jean a combattu pour la liberté et l’indépendance de notre pays, mais aussi pour une société plus juste et plus humaine, comme celle imaginée par le programme du Conseil National de la Résistance.
Résister, c’est un verbe qui sonne comme une exigence ultime de la conscience quand les lendemains n’offrent plus l’esquisse d’un espoir et qu’à vouloir rester l’homme l’on est contraint à la rupture avec l’ordre imposé.
Résister ce n’était pas, ce n’est pas, simplement s’arc-bouter sur soi même pour tenter de ne rien changer de fondamental.
Désobéir c’est le fait d’un homme libre qui met en gage sa liberté pour obéir à sa conscience.
Dans la vie de chaque être humain, vient un moment ou pour dire simplement ceci est blanc ou ceci est noir, il faut parfois payer très cher, en 1940 – 1945, ce pouvait être le prix de la vie, mais le problème n’est pas de savoir le prix à payer, mais de savoir si le blanc est blanc et si le noir est noir, pour cela il faut garder une conscience.
Il n-y a pas de résistance sans idéal, il n’y a pas de résistance sans le sentiment que l’inaction serait le signe d’une capitulation.
L’idéal de Jean était au-delà de bouter l’occupant de notre pays, c’était aussi combattre une idéologie criminelle, raciste, anti sémite,de rejet de l’autre par ce qu’il est différent.
Rien ne serait pire que de célébrer le passé, la mémoire pour mieux en oublier le message, de s’autoproclamer héritier dans la ferveur émotionnelle d’une démarche commémorative, en laissant avec regret le monde aller là où il va.
Pour demeurer humain nous devons encore et toujours savoir dire non.
Pour terminer je veux citer cette phrase du Résistant et historien Jean CASSOU :
« C’est au nom de ceux des nôtres, qui ont risqué la mort pour la liberté que nous vous demandons, à vous, à ceux des jeunes générations, d’être vigilants. Nous vous passons le flambeau, à votre tour de vous battre quand il le faudra, comme il le faudra, pour la justice, la dignité humaine, la liberté ».

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Allocution de David SAMZUN, maire de Saint-Nazaire

(Seul le prononcé fait foi)

David Samzun, maire de Saint-Nazaire en allocution (Marie-Odile Bouillé, députée, tient le parapluie).
201502 - Février 2015 - Inauguration Bd. Jean de Neyman - St.-Nazaire
David SAMZUN, maire de Saint-Nazaire en allocution (Marie-Odile BOUILLÉ, députée, tient le parapluie).
© Photo P.M. / Collectif J.d.N., 20150228-1905.

Madame La Conseillère Générale,
Mesdames Messieurs Les Élus,
Madame Dominique de Neyman, et toute votre famille,
Monsieur Guy Texier,
Mesdames, Messieurs,

Comment ne pas avoir le cœur serré en écoutant ces passages de la lettre d’amour et de dignité que Jean de Neyman écrit aux siens avant d’être fusillé par les nazis le 2 septembre 1944.
Après le débarquement allié en Normandie le 6 juin 1944, les conflits pour libérer le sol national seront rudes et meurtriers et dureront encore de longs mois même après la libération de Paris le 25 août 1944.
La résistance intérieure, partout sur le territoire national, amplifie son action et vient en appui efficace des forces alliées particulièrement après les débarquements de Normandie et de Provence.
Le prix à payer est lourd et de nombreux résistants voient leur vie arrachée pour leur engagement pour la liberté.
Ce fut le cas de l’un d’entre eux, Jean de Neyman, arrêté en août 1944 par les allemands près de la Baule dont la libération n’interviendra pas, comme pour toute la poche de St-Nazaire, avant le 11 mai 1945 après la capitulation nazie.
Dernier fusillé du Département, encore appelé la Loire inférieure, comment ne pas aujourd’hui saluer sa mémoire !
Je ne reviendrai pas sur son parcours de résistant exposé par Monsieur TEXIER et présenté par l’exposition réalisée par des lycéens d’A. Briand. J’en profite pour remercier la présence des jeunes (du conservatoire, du lycée) et la mobilisation de leurs professeurs. Ces moments de rassemblements sont aussi un devoir de mémoire et de transmission à l’égard notamment des jeunes générations.
La lettre de Jean de Neyman relate ces faits mais surtout sa ferveur, sa foi dans l’homme par-dessus tout, la fierté de porter jusqu’au sacrifice la fidélité aux valeurs qui l’ont conduit à s’engager pour la libération de la France, pour la fin du régime de collaboration de Vichy, pour la reconstruction de la République. Attaché aux idéaux de la Résistance, il sait les risques qu’il prend.
St-Nazaire se devait de commémorer la mémoire de cet homme qui est plus que jamais une référence pour tous ceux qui aspirent à un idéal de progrès, de dignité et de justice sociale. Jean de Neyman est une figure de l’Histoire qui ne doit pas disparaitre.
C’est pour cela comme je m’y étais engagé (suite regroupement des collèges M. Rolland et J de Neyman avec la création du collège A. CONTI), que le Conseil Municipal a voté le changement de dénomination du boulevard et de l’impasse de l’Hôpital en boulevard et impasse Jean de Neyman !
Avec vous tous réunis aujourd’hui, nous lui rendons hommage en montrant le visage d’un homme qui avait voulu donner un sens à sa vie et à ses engagements ; une référence pour tous ceux qui doutent et trouveront à
travers lui de nouvelles raisons d’espérer et de se mobiliser.
Jean de Neyman : le refus de la résignation, le courage et le désintéressement !
Valeurs qui, en ces temps troublés me sont particulièrement chères ainsi qu’à mes collègues élus de la majorité.

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Allocution de Jean-Loup de NEYMAN, neveu de Jean

Ci après, vous allez pouvoir lire l’allocation préparée par Jean-Loup de Neyman. Il semble important de signaler, que très ému par le travail réalisé par la classe de première L1 du Lycée Aristide Briand de Saint-Nazaire par une évocation graphique et littéraire proposée au regard du visiteur, il a improvisé des remerciements non retranscrits ci-après, très touchants envers cette jeunesse et sa professeure.
Des remerciements ont aussi été adressés aux personnalités politiques, associatives et amis rassemblés.

(Seul le prononcé fait foi)

Jean-Loup de NEYMAN en allocution (de G à D derrière Jean-Loup : Yannick VAUGRENARD, Marie-Odile BOUILLÉ, Davis SAMZUN, Joël BUSSON)
201502 - Février 2015 - Inauguration Bd. Jean de Neyman - St.-Nazaire
Jean-Loup de NEYMAN en allocution (de G à D derrière Jean-Loup : Yannick VAUGRENARD, Marie-Odile BOUILLÉ, Davis SAMZUN, Joël BUSSON)
© Photo P.M. / Collectif J.d.N., 20150228-1926.

Jean de Neyman, sa sœur Marie et son frère André ont été élevés dans l’amour de la France par des parents Patriotes Polonais qui ont inculqué à leurs enfants, les valeurs essentielles et universelles contenues dans cette devise de la France qui rallie sous sa bannière tous les hommes de progrès, quelles que soient leurs origines :

Liberté, Égalité, Fraternité.

L’action de Jean s’inscrit dans cette trilogie :
Liberté : La France n’est plus libre, Jean prend les armes ;
Égalité : Ce jeune savant, descendant de la noblesse polonaise entre à ce qui était à son époque le grand parti majoritairement prolétarien ;
Fraternité : Il se sacrifiera courageusement pour ses frères d’arme sans montrer la moindre haine pour ses bourreaux.
Il est un exemple pour la jeunesse en quête d’idéal.
Le combat de Jean est très actuel.
Liberté : on s’attaque à la liberté d’expression et subrepticement à nos libertés ;
Égalité : l’observatoire des inégalités tire le signal d’alarme, le fossé s’est agrandi.
Fraternité : le monde est entré en convulsion. Arabes contre Arabes, Ukrainiens contre Ukrainiens... Frères contre frères.
L’aura particulière de Jean de Neyman vient de son attachante personnalité et du fait qu’il a incarné les plus nobles valeurs enseignées par sa mère et son père, mes grands-parents, cette glorieuse et vivante devise, Liberté, Égalité, Fraternité qu’il a portée en lui jusqu’à en mourir.

Télécharger en P.D.F.

<p>Découvert du panneau du boulevard portant le nom de Jean de NEYMAN, par le maire et la famille de NEYMAN présente (de G à D : David SAMZUN, Claire BUCHBINDER, Dominique et Jean-Loup de NEYMAN, nièce et neveu de Jean).</p>© Photo [<acronym title="Patrice Morel">P.M.</acronym>->33] / Collectif <acronym title="Jean de Neyman">J.d.N.</acronym>, 20150228-1864. <p>Panneau sur le thème de Jean de NEYMAN réalisé par les élèves de l'école Aristide Briand sous la responsabilité de leur professeure <a href='http://collectif-jeandeneyman.fr/spip.php?article37' class="spip_in">Élissa ANDRÉ</a>.</p>© Photo [<acronym title="Patrice Morel">P.M.</acronym>->33] / Collectif <acronym title="Jean de Neyman">J.d.N.</acronym>, 20150228-1801. <p><a href='http://collectif-jeandeneyman.fr/spip.php?article37' class="spip_in">Élissa ANDRÉ</a>, professeure d'histoire et de géographie au lycée Aristide Briand tient le parapluie à une élève en allocution.</p>© Photo [<acronym title="Patrice Morel">P.M.</acronym>->33] / Collectif <acronym title="Jean de Neyman">J.d.N.</acronym>, 20150228-1832. <p>Une centaine de personnes présentes et bien abritée sous les parapluies.</p>© Photo [<acronym title="Patrice Morel">P.M.</acronym>->33] / Collectif <acronym title="Jean de Neyman">J.d.N.</acronym>, 20150228-1843. <p>Guy TEXIER en allocution ( de G à D : David SAMZUN, Marie-Odile BOUILLÉ, Guy TEXIER, Joël BUSSON, Cédric TURCAS, Yvon RENÉVOT)</p>© Photo [<acronym title="Patrice Morel">P.M.</acronym>->33] / Collectif <acronym title="Jean de Neyman">J.d.N.</acronym>, 20150228-1891. <p>David SAMZUN, maire de Saint-Nazaire en allocution (Marie-Odile BOUILLÉ, députée, tient le parapluie).</p>© Photo [<acronym title="Patrice Morel">P.M.</acronym>->33] / Collectif <acronym title="Jean de Neyman">J.d.N.</acronym>, 20150228-1905. <p>Jean-Loup de NEYMAN en allocution (de G à D derrière Jean-Loup : Yannick VAUGRENARD, Marie-Odile BOUILLÉ, Davis SAMZUN, Joël BUSSON)</p>© Photo [<acronym title="Patrice Morel">P.M.</acronym>->33] / Collectif <acronym title="Jean de Neyman">J.d.N.</acronym>, 20150228-1926. <p>L'école de musique en prestation avant un pot de l'amitié.</p>© Photo [<acronym title="Patrice Morel">P.M.</acronym>->33] / Collectif <acronym title="Jean de Neyman">J.d.N.</acronym>, 201502-1939.

Note : Le "i" bleu en haut et à gauche qui apparaît sur certaines images vous donne une information sur le document présenté.

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Adresse postale

Position GPS du boulevard et et de l’impasse Jean de Neyman : 47.27751406138494, -2.2346753650138784

Lien plan Google (par exemple pour envoyer à un ou une ami) : https://maps.app.goo.gl/UVm4JUCaBRkxaNjv9


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