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Lycée Pasteur - Neuilly-sur-Seine
Article mis en ligne le 19 octobre 2023
dernière modification le 1er avril 2024

Le lycée Pasteur situé à Neuilly-sur-Seine va accueillir Jean de NEYMAN d’octobre 1921 jusqu’en juillet 1932, année d’obtention de son baccalauréat.
Le projet de construction d’un lycée à Neuilly-sur-Seine date de la fin du XIXe siècle qui démarre à l’été 1912. Situé boulevard d’Inkermann, le lycée Pasteur ouvre ses portes en mai 1914 mais la déclaration de guerre du 3 août 1914 va changer la destination de l’édifice en hôpital, ceci pendant toute la durée de la première guerre mondiale. Il faut attendre le 1er octobre 1919 pour que le lycée retrouve sa vocation et accueille ses premiers élèves. Il sera officiellement inauguré le 18 octobre 1923.

Photo du lycée Pasteur
Lycée Pasteur à Neuilly-sur-Seine
© Archives Départementales des Hauts-de-Seine, 2405W250
Photo du lycée Pasteur
Aile gauche
Archives Départementales des Hauts-de-Seine, 2405W250
Photo du lycée Pasteur
Aile droite
Archives Départementales des Hauts-de-Seine, 2405W250

Outre ses nombreuses salles de classe, ses salles d’étude et son réfectoire, ce lycée cossu héberge en son sein les logements de fonction du proviseur, censeur, économe et surveillant-général, la règle voulant que la superficie du logement est proportionnelle à la position hiérarchique dans l’établissement. Le proviseur dispose ainsi d’une cuisine, salon, salle à manger, de trois chambres, de deux cabinets de toilette, d’une galerie et d’un cabinet de travail doté de meubles en acajou, fauteuils en cuir, bureau et d’un tableau intitulé « Coin de Jardin » prêté par… le Musée du Louvre.

Photo de la salle des appareils de physique
Salle des appareils de physique
© Archives Départementales des Hauts-de-Seine, 2405W250

Le lycée compte 758 élèves en 1921-1922 : 266 en classes enfantine et primaire ; 370 élèves en classes de collège et 122 en classes de lycée. En 1931-1932, il a quasiment doublé ses effectifs pour accueillir 1332 élèves (590 en classes enfantine et primaire, 546 en classes de collège et 196 en classes de lycée). Les Classes Préparatoires ne seront ouvertes qu’après-guerre, en 1948.
Le lycée de dispose pas d’internat et les élèves fonctionnent sous trois statuts différents : les demi-pensionnaires qui mangent à la cantine le midi, les externes surveillés (ils ne peuvent rentrer chez eux s’ils ont une heure de libre entre deux cours et doivent se signaler auprès du surveillant général qui les accueillent en salles d’étude et les externes libres : ils peuvent rentrer quant ils veulent chez eux, y compris pour y déjeuner. Jean, Marie et André se trouvent scolarisés sous ce troisième statut et mettent 15 minutes à pied pour se rendre de leur domicile au lycée.
Le Lycée est payant, payable par trimestre et la scolarité pour Jean en 1932 coûte 360 francs par terme soit 1080 francs par an à multiplier par le nombre d’enfants scolarisés. C’est donc 1 mois et demi de salaire qui sont consacrés à l’année par Constantin à l’instruction de ses enfants.
En octobre 1921, Jean et sa sœur Marie rentrent tous les deux en classe de 10e B sous la houlette de Melle MAUREL [1]. La classe compte 25 élèves [2]. En juillet 1922 a lieu la distribution solennelle des prix à la salle Wagram (Paris, 8ème arrondissement) sous la présidence de Louis de BROGLIE, professeur à la Faculté des Sciences de Paris, prix Nobel de Physique, les professeurs étant tous conviés et devant revêtir une tenue de cérémonie prêtée par le lycée : Jean et Marie sont inscrits au tableau d’honneur. Jean remporte le 2e prix ex-æquo avec sa sœur en Langue Française et une mention en Dessin et ils remportent tous les deux une mention en Calcul. Marie raflera un prix dans de nombreuses autres disciplines : un 3e prix en Histoire, une mention en Géographie, un 2e accessit en Lecture, une mention en Écriture, un 2e accessit en Récitation et un 2e accessit en Dessin [3]. À noter dans la classe un certain Haroun TAZIEFF, futur volcanologue. Marie quitte le Lycée Pasteur pour l’annexe du lycée Pasteur à partir de la 8e, le lycée de Jeunes Filles, tandis que son frère André sera scolarisé au lycée (une classe en dessous de Jean) jusqu’à l’obtention de son baccalauréat. Jean y suivra ses études de la 10e jusqu’à la classe de Mathématiques Élémentaires.


Liste des élèves de 10e B

Classe de 10e B, 1921-1922 : BIETTE Guy, BLOCK Louise, CASTEL Raoul, DEHALLE Robert (D.P.), DEVIGNE Robert, FAVRE Raymonde (Ext. Surveillé), GARCETTE Paul, HÜE de la COLOMBE Jean, JACQUET Amédée, JOURNE Antonin, LACHAUT Serge, MALINVERNI Pierre, MARIANI Angelo, MEYER Sabine, De NEYMAN Jean, De NEYMAN Marie, PINGRIN Pierre (Ext. Surveillé), PRAT Guy, QUILICI Ginette, SECQUEVILLE Lionel, SECQUEVILLE Roger, TAZIEFF Haroun (D.P.), TIRADO Gabrielle (D.P.), TROUCHON Paulette, REGNARD André (Ext. Surveillé puis Ext. Libre)


Classe 6e B
Lycée Pasteur 1925-1926
© Archives Départementales des Hauts-de-Seine, 2452W169

Classe 5e B
Lycée Pasteur 1926-1927
© Archives Départementales des Hauts-de-Seine, 2452W170

Liste des élèves de 4e B

Classe de 4e B, 1927-1928 :

4e A1 : COURCELLES Robert, DOUARD Lucien (D.P.), GAUTIER Claude, LEHURORNA Pierre, LOIRE René, MEMBRE Philippe (D.P.), MERCIER Maurice (D.P.), MOUTARD André (D.P.), PERRIN André (Ext. Surveillé), SMELLIC Léonard.

4e A2 : BORDOURGES Jacques, BOULVIC Roger, CHOUILLET Jacques, DEZURZES Jacques, EBOUE Henri, GELIOT Jacques, HÜE de la COLOMBE Jean, MAQUENNCHEN Guy (D.P.), MEBINGER Marc (Ext. Surveillé), LE MARCIS Jean (Ext. Surveillé), PECQUET Jacques (D.P.), VATELOT Jean.

4e B : BERGOUNHOUX Henry (Ext. Surveillé), HOWLAND Louis (Ext. Surveillé), KAIAZEFF Alexis (D.P.), LAQUERRE Jean-Jacques, De NEYMAN Jean, SEGEAT Pierre (Ext. Surveillé), SOUTILLE René, TABARANT Robert (Ext. Surveillé), THARRATT Jacques (Ext. Surveillé), VILLETARD Claude.


Classe 3e B
Lycée Pasteur 1928-1929
© Archives Départementales des Hauts-de-Seine, 2452W189

Liste des élèves de 3e B

Classe de 3e B, 1928-1929 : AEGERTEN Charles (D.P.), ANASTASSIOU Michel, BEHARLOU Mohamed (Ext. Surveillé puis Externe), BERGOUNHOUX Henri (Ext. Surveillé), BERNHEIM Lucien (D.P.), BILLET Claude, CASTEL Raoul, CHARLET Maurice, DENYS Robert, DUPUY Yves, FARQUET Robert, GARNIER Roger (Ext. Surveillé puis Externe), GICQUEL Claude, HIMMELBAUER ?, KNIAZEFF Alexis (D.P.), LANGLUVNE Bernard (D.P.), De LARUE Georges, LAURET Robert, De LAVILLAUDRE Jean (D.P.), LESPINASSE Charles (Ext. Surveillé), MARTINELLI Jacques (Ext. Surveillé), MOIRCAN René, MOUNIE Henri (Ext. Surveillé), MOURY Robert (Ext. Surveillé puis Externe), De NEYMAN Jean, NICOLAS André (D.P.), OBRECHT Hubert, PERRIN André, SAMANON Marcel, SEGEAT Pierre (Ext. Surveillé), SOUTILLE René (Ext. Surveillé), TABARANT Robert (Ext. Surveillé), THARRATT Jacques (Ext. Surveillé), URRXGAUTS Claude (Ext. Surveillé), VILLETARD Claude, VIVREL Charles (D.P.)


Liste des élèves de 2nde B

Classe de 2nde B 1929-1930

AEGERTER Charles (D.P.), BECHAROURY André (D.P.), BERGOUNHOUX Henri (Ext. Surveillé), BERNHEIM Georges (D.P.)
BROUSTIN Georges, CASTEL Raoul (D.P. puis Ext.), CHARLET Maurice, CHAUKATE Medi, DUPUY Yves, GICQUEL Claude, GOUPIL Jacques (D.P.), HIMMELBAUXER Max, KUIAZEFF Alexis, D.P.), LAGUERRE Jean-Jacques (Ext. Surveillé), LANCHON, LAMY, De LARUE Georges, LAURENT Pierre (D.P.), LAURET Robert, LESPINASSE Charles (D.P.), MARTINELLI Jacques (Ext. Surveillé)
MOIREAU René, MOUSNIE Henri (Ext. Surveillé), De NEYMAN Jean
NICOLAS André (D.P.), OBRECHT Hubert, PERRIN André, SEGUAT Pierre (Ext. Surveillé), TABARANT Robert (Ext. Surveillé), TERPMOURTACHE Moumour, THARRATT Jacques (Ext. Surveillé)


Classe 1ère
Lycée Pasteur 1930-1931
© Archives Départementales des Hauts-de-Seine, 2452W172

Liste des élèves de 1ère B

Classe de 1ère B, 1930-1931 : BERGOUNHOUX Henri (Ext. Surveillé), BERNHEIM Lucien (D.P.), BRONSTEIN Georges, BRUNEAU Jacques, COLINOT Pierre, COULON Georges, DUPUY Yves, GICQUEL Claude, HENEIN Georges, LAGUERRE Jean-Jacques (Ext. Surveillé), LAMY Jacques, LOUMI Tahar, KNIAZEFF Alexis (D.P.), LESPINASSE Charles (D.P.), MARTINELLI Jacques (D.P. puis Ext. Surveillé), MENARD Robert, MEYER Claude, MIARD Georges, MOIREAU René, MOUNIE Henri (D.P.), De NEYMAN Jean, NICOLAS André (D.P.), PERRIN André, SEGEAT Pierre (Ext. Surveillé), TABARANT Robert (Ext. Surveillé), TEYMOURTACHE Manoucheh, VERSINI Alexandre (D.P.)


Classe de Mathématiques Élémentaires
Lycée Pasteur 1931-1932
© Archives Départementales des Hauts-de-Seine, 2452W194

Liste des élèves de Mathématiques Élémentaires

De BACHKIROFF Serge, BERNARDIN Jean, BLOCK Louise, BRONSTEIN Georges (D.P. puis Ext. Libre), BROSSIER Roger, CLEMENT Simone, COGNET Stéphane (D.P.), COLINOT Pierre, COMTE Suzanne, DELECOURT Maurice (D.P.), DEMASSIEURS Jean, DENARD Lucien (D.P.), DESBANT René (D.P.), DINET Roger, GODFROY Jean, GIRARDEAU Jean (D.P.), GRELLEY André, HÜE de la COLOMBE Jean, LAGUERRE Jean-Jacques (Ext. Surveillé), LAMY Jacques, LEBOVICI Serge, LEGRAND Jacqueline, LEHMAN Pierre, LERNOULD Edmond (D.P.), LEVI Jean, MARTINELLI Jacques (D.P.), De NEYMAN Jean, NICOLAS André (D.P.), RENAULT Jean, ROLLEY Jean, SCHAPIRO Georges (Ext. Surveillé), SMELLIC Léonard, VIMON Maurice (D.P.)


Photo des professeurs du lycée Pasteur
Professeurs et professeures
Lycée Pasteur
Archives Départementales des Hauts-de-Seine, 2452W192

Jean de NEYMAN passe la première partie de son baccalauréat (série B - langues - fin juin 1931) et obtient son baccalauréat en juillet 1932, série Mathématiques [4]. La classe de Mathématiques Elémentaires qui comprend 33 élèves est mixte : les filles qui envisagent des études scientifiques compte tenu du trop faible effectif dans le lycée annexe de jeunes filles sont intégrées au lycée de garçons. La tenue en costume-cravate pour les garçons est de rigueur sauf pour Jean qui n’en porte pas et il est le seul dans ce cas.

Résultats du bac
Lycée Pasteur 1932
© Archives Nationales, 20050550/2

 
Dans le même temps, il passe le Concours Général [5] en juin 1932 et obtient le 2ème Prix sur l’épreuve de Physique-Chimie [6].

Résultats au Concours général
des Lycées, collèges et écoles normales de 1932
© Archives Nationales, 19771422/9

 

Sujet de physique au Concours général
des Lycées, collèges et écoles normales de 1932
© Archives Nationales, 19771422_8

Version texte

J. 50298-32

C.G., n° 10.

ANNÉE 1932.

CLASSE DE MATHÉMATIQUES.


COMPOSITION DE PHYSIQUE.
(Durée : 6 heures.)

Une locomotive munie de roues motrices de 2,00 m. de diamètre, possède quatre cylindres identiques, à double effet, dont, les pistons ont chacun 48,00 cm. de diamètre el 65,00 cm. de course, et qui reçoivent de la vapeur surchauffée à 340°, sous la pression de 13,00 kg. par cm2 :
1° Quel est le rendement théorique maximum de celte machine, sachant qu’elle n’a pas de condenseur et que la vapeur s’échappe directement dans l’atmosphère dont la pression est de 1 kg. par cm2 ?
2° Quelle serait, en chevaux-vapeur et en kilowatts, la puissance développée par cette locomotive, si elle fonctionnait sans détente à 1a vitesse de 80 km. à l’heure, et quelles seraient, dans ces conditions, les consommations horaires d’eau et de combustible, sachant que le rendement pratique de la machine est 13 p. 100, que la combustion de 1 kilogramme de charbon dégage 7.500 kilocalories et que 1a vapeur d’eau, dans les conditions où elle est utilisée, peut être considérée comme un gaz parfait ;
3° Calculer, avec les mêmes unités, la puissance réellement fournie par la vapeur à cette vitesse, sachant que la détente et le laminage de la vapeur réduisent l’aire du diagramme de l’indicateur de Watt à 466 cm2, tandis que, la machine fonctionnant lentement et sans détente, ce diagramme est sensiblement un rectangle de 32 cm. de longueur et de 26 cm. de hauteur ;
4° De combien doit être relevé le rail extérieur, pour qu’a cette vitesse de 80 km. à l’heure, la locomotive puisse aborder sans danger une courbe horizontale de 650 m. de rayon ? la largeur
de la voie est de 145 cm. ; on admettra que les différentes forces qui interviennent sont concourantes ;
5° La locomotive et son tender, qui pèsent 135 tonnes, sont attelés à un train formé de huit voitures de 50 tonnes chacune. Calculer la pente maximum de la voie sur laquelle ce train pourrait être remorqué, sans détente et d’un mouvement uniforme, si les frottements étaient négligeables ;
6° Déterminer en kilogrammes-poids une valeur de ces frottements, sachant qu’en réalité le train ne peut pas franchir une rampe de 3 p. 100.
7° Le train aborde, à 6 km. à l’heure et vapeur coupée, une rampe de 4 mm. par mètre ; à quelle distance s’arrêterait-il si les frottements étaient négligeables ?
8° En réalité il s’arrête après avoir parcouru 18,6 m. ; déduire de ce résultat une nouvelle valeur des frottements, en admettant qu’a ces faibles vitesses ils sont indépendants de la vitesse. Exprimer en kilocalories1a quantité de chaleur dégagée pendant cet arrêt ;
9° Le train, au repos sur une voie horizontale, démarre d’un mouvement qu’on suppose uniformément accéléré, la détente étant réglée de telle sorte que le travail fourni par la vapeur soit les 85/100es du travail maximum ; au bout de quel temps aura-t’il atteint la vitesse de 12 km. à l’heure ? Quelle serait en kilogrammes l’indication fournie par un dynamomètre intercalé entre le tender et le premier wagon si les frottements étaient négligeables ?
10° En réalité, pour atteindre cette vitesse, le train doit parcourir 22,75 m. ; quel est le temps employé ? Quelle est la valeur des frottements ? Quelle est l’indication du dynamomètre en admettant que les frottements, pour la locomotive comme pour les wagons, sont proportionnels à la masse en mouvement ? Que doit-on conclure du fait que la force lue au dynamomètre est plus faible que celle qu’on vient de calculer ?
11° Le train étant lancé sur une voie horizontale, on constate que sa vitesse ne dépasse pas 120 km. à l’heure et que la puissance déduite de cette donnée et de la lecture de l’indicateur de Watt est 1a moitié de la puissance maximum ; évaluer en kilogrammes la résistance qui s’oppose à la marche du train à cette vitesse ;
12° Quelle est la nouvelle valeur de cette résistance lorsque le train monte une pente de 15 p. 1000 sur laquelle sa vitesse maximum est de 73 km. à l’heure, alors que la puissance déterminée grâce à l’indicateur de Watt est les 7/10es de la puissance maximum ?
13° Faire le tableau des diverses valeurs obtenues pour la résistance qui s’oppose à la marche du train, chercher comment varie la résistance de l’air en fonction de la vitesse, en admettant que les frottements solides restent constants ; écrire dans le système métrique la formule donnant, en fonction de la vitesse, la résistance totale (frottements solides et résistance de l’air) qui s’oppose au mouvement du train et vérifier cette formule en l’appliquant aux cas précédemment étudiés.
14° Calculer enfin, au moyen de cette formule, la vitesse limite qu’atteindrait le train abandonné à lui-même, vapeur coupée, sur une pente de 12 p. 1000.
N.-B. — On prendra : π = 3,14 ;
Accélération de la pesanteur : g = 9,81 mètres-seconde ;
Équivalent mécanique de la kilocalorie : 426 kilogrammètres ;
Volume moléculaire dans les conditions normales : 22,4 litres ;
Coefficient de dilatation des gaz : α = 1/273 ;
On admettra que la pression atmosphérique normale peut être confondue avec le kg. par cm2 ;
On confondra les petits angles exprimés en radians avec leurs sinus et leurs tangentes.
Enfin on conduira les calculs aussi simplement que possible, mais de façon à obtenir les résultats avec la précision que comportent les données.

Pdf en téléchargement.

Jean quitte le lycée Pasteur en juillet 1932 pour s’inscrire au lycée Janson de Sailly (106, rue de la Pompe, Paris 16e arrondissement). Sa sœur Marie l’avait quitté un an plus tôt avec un an d’avance en ayant obtenu son baccalauréat Philosophie le 18 juillet 1931, André obtiendra son baccalauréat en juillet 1933.

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